Bruxelles, et ses vies parallèles.
Comme j'aime bien les questions européennes, et comme j'aime bien lire, me voilà plongé dans la littérature européenne. Plongé, c'est normal pour un Calamar. Mais là, je vais d'eaux troubles en fonds incertains. Le rapport avec l'Europe? Sa capitale institutionnelle: Bruxelles. Plus précisément? Un roman.
L'idée, à la base, peut paraitre simple et, reposant sur une enquête, fait voyager dans la capitale belge, dans le passé d'un patron de banque. Et envoie en Afrique. Dans les méandres d'une histoire douloureuse. Au final, il en ressort un regard sur la colonisation, sur l'immigration sur certains préjugés. Tout y est: les diamants, le Congo, les familles mouillées dans des histoires pas très saines etc. Une ambiance, aussi: la ville se fait pesante, aucun échappatoire ne parait possible. Bref, je recommande Des Vies parallèles, de José Ovejero.
L'idée, à la base, peut paraitre simple et, reposant sur une enquête, fait voyager dans la capitale belge, dans le passé d'un patron de banque. Et envoie en Afrique. Dans les méandres d'une histoire douloureuse. Au final, il en ressort un regard sur la colonisation, sur l'immigration sur certains préjugés. Tout y est: les diamants, le Congo, les familles mouillées dans des histoires pas très saines etc. Une ambiance, aussi: la ville se fait pesante, aucun échappatoire ne parait possible. Bref, je recommande Des Vies parallèles, de José Ovejero.
Libellés : Texte
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