Ce soir, je ne dors pas
C'est comme ça. Parfois, il ne faut pas chercher à comprendre. On loupe un train et ops, jamais on ne prend le suivant. Donc, ce soir, j'ai loupé celui de minuit, parce que je coupais des carottes. Ben oui. Eplucher des carottes, c'est communautaire. C'est pour le déj' demain, au boulot. Oui, parfois je lance des idées comme ça: tiens, on va faire un déjeuner communautaire. C'est malin, je me retrouve à éplucher des carottes en rentrant à pas d'heure, alors que Soeurette m'avait gentillement proposé de passer dire bonsoir, et d'attraper un morceau de brownie en même temps. Mais bon, comme j'ai terminé le book de relecture pour l'industrie lourde, et les chemins de fer pour l'automobile, je suis rentré tard, ai épluché les carottes, dis bonsoir à Sylvain sur Facebook (oui, nous avons des échanges profonds et intenses sur Facebook, à tel point qu'il suggère qu'un sociologue se penche sur eux...) et ai loupé mon train. De sommeil.
Il y a une autre raison. J'ai un pot d'enfer en ce moment. Là, lire un pot comme déclaration. Je me serais trompé. Et de beaucoup. Et ça, ça m'énerve. Non, mes Amis ultra-libéraux: pas de payer des impôts. De me tromper. Parce que je ne cherche pas à rouler la communauté. On y revient, tiens. Mais parce que je suis convaincu avoir raison et visiblement, c'est un petit truc qui a sauté sur internet. Genre la petite case qu'il faut cocher. Tout cela me turlupine. Et comme j'ai loupé mon train, je fais les 100 pas sur le quai de la gare "Bonne nuit".
Même pas le courage de lire ce soir. Ni d'écrire des mails. Alors que bon, là, c'est abusé. J'avais promis des coups de fil, même pas passés ce week-end. A Monsieur le Chef (de la musique francophone d'Amérique du Nord), à Madame son Assistante, à Madame qui s'est fait inspecter aujourd'hui. Heureusement, j'ai nourri Boubou ce week-end. Je n'ai pas laissé dépérir la petite bête de Clairounette (partie faire la belle à Londres) et Sylvano (parti fare l'italiano).
Bon, en attendant, en cherchant une chanson que j'aime beaucoup sur internet (Edgar Bori, Ce sont), voilà que je trouve cette petite chanson de Grand Corps Malade. Alors, que chacun en écoute. C'est marrant, elle parle aussi d'un métaphore ferrée. Bon ben, bonne écoute.
Il y a une autre raison. J'ai un pot d'enfer en ce moment. Là, lire un pot comme déclaration. Je me serais trompé. Et de beaucoup. Et ça, ça m'énerve. Non, mes Amis ultra-libéraux: pas de payer des impôts. De me tromper. Parce que je ne cherche pas à rouler la communauté. On y revient, tiens. Mais parce que je suis convaincu avoir raison et visiblement, c'est un petit truc qui a sauté sur internet. Genre la petite case qu'il faut cocher. Tout cela me turlupine. Et comme j'ai loupé mon train, je fais les 100 pas sur le quai de la gare "Bonne nuit".
Même pas le courage de lire ce soir. Ni d'écrire des mails. Alors que bon, là, c'est abusé. J'avais promis des coups de fil, même pas passés ce week-end. A Monsieur le Chef (de la musique francophone d'Amérique du Nord), à Madame son Assistante, à Madame qui s'est fait inspecter aujourd'hui. Heureusement, j'ai nourri Boubou ce week-end. Je n'ai pas laissé dépérir la petite bête de Clairounette (partie faire la belle à Londres) et Sylvano (parti fare l'italiano).
Bon, en attendant, en cherchant une chanson que j'aime beaucoup sur internet (Edgar Bori, Ce sont), voilà que je trouve cette petite chanson de Grand Corps Malade. Alors, que chacun en écoute. C'est marrant, elle parle aussi d'un métaphore ferrée. Bon ben, bonne écoute.
Libellés : Festival Déferlantes francophones, Humeur du jour partagée
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