Allez savoir pourquoi...
Rude journée aujourd'hui. Ce que je craignais arriva. Ce genre de truc qu'on a pressenti. Et plus on le pressent, en essayant d'y échapper, plus on s'enfonce dedans. Rude journée car la situation fut fort inconfortable.
Je vais donc devoir m'occuper de ce magazine au bord de l'échec... In english, en plus. Autant dire que l'heure à laquelle j'ai pu sauter sur mon petit vélo (oui, je sais Aurél', je dis toujours mon petit vélo)... autant dire, donc, que cette heure fut tardive.
Donc, pour se changer les idées, un peu de musique. C'est tout ce que j'ai à raconter pour ce soir... et ça représente déjà beaucoup.
Ecoutez bien, jusqu'au bout: la chanson porte un beau message. A méditer.
Ah oui, et celle-là aussi:
Je vais donc devoir m'occuper de ce magazine au bord de l'échec... In english, en plus. Autant dire que l'heure à laquelle j'ai pu sauter sur mon petit vélo (oui, je sais Aurél', je dis toujours mon petit vélo)... autant dire, donc, que cette heure fut tardive.
Donc, pour se changer les idées, un peu de musique. C'est tout ce que j'ai à raconter pour ce soir... et ça représente déjà beaucoup.
Ecoutez bien, jusqu'au bout: la chanson porte un beau message. A méditer.
Ah oui, et celle-là aussi:
Libellés : Festival Déferlantes francophones, Humeur du jour partagée, Musique
1 réponse de palourde:
Très hermétique ce billet...
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