A ce rythme...
A ce rythme, je ne vais pas écraser vos yeux sous le poids de mes mots, ni vos oreilles sous la puissance de mes coups de cœur musicaux. Tout ça pour quoi? Pour du boulot. Pour du magazine. Pour des clients. Pour des marques. Triste constat. Mais c'est comme ça.
Pour l'instant, je voudrais quand même donner à voir et à entendre ce que j'ai eu le plaisir de découvrir samedi dernier. Mon Amie La Pieuvre était de passage dans la capitale. Star inconditionnelle d'un Québécois (oui, encore, je sais), elle avait sauté dans le TGV pour voir de ses propres yeux un bonhomme qui habite la scène, qui s'impose devant le Zèbre de Belleville et qui laisse des traces dans les mémoires...
Un côté rock incroyable, mais pas trop star. Un humour avec une pointe d'autodérision. Et surtout, des chansons magiques. Il en a sur tous les thèmes. Bien sûr, l'amour et les peines de cœur. Bien sûr, son point de vue sur l'ordre des choses. Bien sûr, ses souvenirs. Mais il a surtout une telle façon d'agencer les mots et de jouer avec eux comme un jongleur ré-invente l'espace avec ses boules que la découverte du texte semble permanente. Seul en scène avec sa guitare pour unique soutien, il ose. Il avance et le show démarre. Et plus le concert avance, plus ses titres font référence au passé. Jusqu'à se rappeler qu'il aurait voulu être... non, pas un artiste (c'est Charlebois, celui-là... encore un Québécois, je sais, je sais)... non, il aurait voulu être un joueur de hockey. Aujourd'hui, c'est avec sa guitare qu'il marque les esprits. Non? Si si... d'ailleurs, allez voir par là.
Un côté rock incroyable, mais pas trop star. Un humour avec une pointe d'autodérision. Et surtout, des chansons magiques. Il en a sur tous les thèmes. Bien sûr, l'amour et les peines de cœur. Bien sûr, son point de vue sur l'ordre des choses. Bien sûr, ses souvenirs. Mais il a surtout une telle façon d'agencer les mots et de jouer avec eux comme un jongleur ré-invente l'espace avec ses boules que la découverte du texte semble permanente. Seul en scène avec sa guitare pour unique soutien, il ose. Il avance et le show démarre. Et plus le concert avance, plus ses titres font référence au passé. Jusqu'à se rappeler qu'il aurait voulu être... non, pas un artiste (c'est Charlebois, celui-là... encore un Québécois, je sais, je sais)... non, il aurait voulu être un joueur de hockey. Aujourd'hui, c'est avec sa guitare qu'il marque les esprits. Non? Si si... d'ailleurs, allez voir par là.
Libellés : Festival Déferlantes francophones, Humeur du jour partagée, Musique, Spectacle
1 réponse de palourde:
Le RE-voir tu veux dire...
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