Autant dire la vérité...
J'étais censé préparer un plan de cours, sur 14 séances (Clairounette, je vais avoir besoin de tes Lumières je crois). Puis, j'ai été poké. Sur Facebook. Conséquence du pok, du tac-au-tac, je quitte mes recherches et mon document .doc pour aller faire un tour sur ce site qui devient un tic, voire un TOC. Et toc.
Dans la logique, toujours, d'éviter soigneusement de bosser, inconsciemment, bien sûr, je regarde un peu autour de moi sur le trombinoscope virtuel. Puis je vais sur My Space. Ecoutant Higelin, je vais faire un tour sur les Déferlantes francophones et tout s'enchaîne. Jusqu'à ce que j'arrive sur le site de Julie.
Julie, c'est une adepte de Capbreton. Elle a aussi un TOC: elle ne se balade jamais sans sa caméra et nous chope à la débottée dans des instants parfois incongrus. Genre, danseur de syrtaki. Fin de nuit au micro, voix portée par les élans sans doute alcoolisés. Genre, on se marre bien et toc, c'est comme si elle pokait avec son engin. Julie aime bien la musique aussi. Et elle aime bien aussi Guy-Philippe Wells. Du coup, elle a mis sur son site My Space un morceau de ce jeune chanteur à texte. Et là, c'est malin, je n'ai pas pu me remettre à mes recherches, parce que j'ai aussitôt cliqué sur le My Space de Guy-Philippe. La voix chatouille mes oreilles. Les textes, truffés de jeux de mots, d'une sensibilité extrême, d'une poésie magique inondent mon cerveau. Parfois des frissons traversent la peau, parfois des sourires pointent sur le bout des lèvres. Conclusion? Je suis encore là, à chercher des morceaux en entier sur la planète internet. Car, en ces temps de mondialisation, Monsieur Wells n'est pas encore diffusé en France. C'est triste. Ah la la. Bon, ben, si je n'arrive pas à me lever demain, je dirai "c'est la faute à Monsieur Wells!". Mais ça fait plaisir!
Dans la logique, toujours, d'éviter soigneusement de bosser, inconsciemment, bien sûr, je regarde un peu autour de moi sur le trombinoscope virtuel. Puis je vais sur My Space. Ecoutant Higelin, je vais faire un tour sur les Déferlantes francophones et tout s'enchaîne. Jusqu'à ce que j'arrive sur le site de Julie.
Julie, c'est une adepte de Capbreton. Elle a aussi un TOC: elle ne se balade jamais sans sa caméra et nous chope à la débottée dans des instants parfois incongrus. Genre, danseur de syrtaki. Fin de nuit au micro, voix portée par les élans sans doute alcoolisés. Genre, on se marre bien et toc, c'est comme si elle pokait avec son engin. Julie aime bien la musique aussi. Et elle aime bien aussi Guy-Philippe Wells. Du coup, elle a mis sur son site My Space un morceau de ce jeune chanteur à texte. Et là, c'est malin, je n'ai pas pu me remettre à mes recherches, parce que j'ai aussitôt cliqué sur le My Space de Guy-Philippe. La voix chatouille mes oreilles. Les textes, truffés de jeux de mots, d'une sensibilité extrême, d'une poésie magique inondent mon cerveau. Parfois des frissons traversent la peau, parfois des sourires pointent sur le bout des lèvres. Conclusion? Je suis encore là, à chercher des morceaux en entier sur la planète internet. Car, en ces temps de mondialisation, Monsieur Wells n'est pas encore diffusé en France. C'est triste. Ah la la. Bon, ben, si je n'arrive pas à me lever demain, je dirai "c'est la faute à Monsieur Wells!". Mais ça fait plaisir!
Libellés : Festival Déferlantes francophones, Humeur du jour partagée, Musique
1 réponse de palourde:
C'est malin tout ce temps perdu alors que j'en ai un plein disque à portée de ma main... T'es bizarre comme mec.
Enregistrer un commentaire
<< Maison