Le Calamar reprend du service...
J'avoue, je n'ai pas été très prolixe ces derniers temps. Jours? Ou semaines? Non, mois. Rien ne garantit, bien sûr, que le retour ici annoncé du Calamar sera durable. Question de développement. Et, en ces temps de réchauffement climatique, qui sait!
En tout cas, le Calamar est parti déferler sur les plages. De l'Ouest, du Sud-Ouest. Des Landes d'abord. Pas beaucoup de plage, non, mais beaucoup de fête, de bonheur, de musique. Un Monsieur nommé Momo le Dirlo a encore organisé un bien beau festival. On a fait la fête. On a mangé (beaucoup) et bu (pas trop) et dormi (énormément) - euh, je ne suis pas sûr de l'ordre des parenthèses ;-)
Le tout en photo... Ou, si vous préférez, un roman photo!
Voilà, donc, Momo le Dirlo, en pleine action: interview pour la radio. Notez la passion qui l'anime, sa main s'élançant telle celle d'un tribun cherchant à convaincre!
Heureusement, la presse armée non d'un micro, mais d'un appareil photo, était là pour veiller et attraper au vol cette image intense, qui vaudrait des fortunes dans la presse people.
Mais ce n'est pas tout. Car sur un festival, il faut exercer des tâches diverses et variées. L'an passé, il paraît que d'aucune a dû repasser les chemises... et les boxers d'un artiste fameux, cette année, un autre artiste néanmoins fameux, mais moins connu de ce côté-ci de l'Atlantique a donné du fer à repasser, comme d'autres du fil à retordre. Non, rien à coudre, rassurez-vous...
Au passage, regardez ce dos courbé sur la tâche. L'élan du bras pour ne pas commettre le moindre faux plis qui aurait pu être assimilé à un faux pas: le manque de professionnalisme. Ah, il en a de la chance Momo le Dirlo, d'avoir une telle équipe de choc, multi tâches, se répétant sans cesse "c'est quand le bonheur?". Et affirmant, immédiatement, "ben, à Capbreton!". D'ailleurs, le public ne s'y est pas trompé qui est venu nombreux saluer les artistes divers et variés présents.
En tout cas, rassurez-vous, la lingère a survécu à cette oeuvre. Elle a même reçu des remerciements chaleureux de l'Artiste Majuscule pour sa collaboration remarquée à un spectacle réussi. Et oui, n'oublions pas, le Diable se niche parfois dans les détails. Y compris dans les plus petits plis des chemises.
Fin connaisseur du marketing (une formation en marketing politique, peut-être?), Momo le Dirlo avait confié à de splendides créatures les tâches marchandes. Histoire d'attirer le chaland? Sans aucun doute, la preuve par l'image...
L'histoire ne dit pas, cependant, si l'acquéreur, les yeux plongés dans... les titres du Cd, a succombé aux charmes évidents et aux talents oratoires de la Miss Festival!
Si elle est reconduite l'an prochain, gageons que cela signifie que les bénéfices (sur ce poste) furent bons.
Un bon Dirlo ne se promène jamais sans:
a) son portable
b) sa Belle Tendre et Chère...
Obligée, notons-le, de porter de noires lunettes pour éviter d'être poursuivi par de mauvais paparazzis. Seuls les meilleurs ont rarement réussi à fixer son image... Une exclusivité de Calamar, donc.
c) une bande de jeunes (de tous âges)
Tout ce savant cocktail donne un fabuleux festival... Par ici pour avoir plus de détail. D'ailleurs, c'était quand le bonheur? A surfer sur internet, on se dit que c'était bien là-bas, et pas que pour les bénévoles chics et chocs...
Le tout en photo... Ou, si vous préférez, un roman photo!
Voilà, donc, Momo le Dirlo, en pleine action: interview pour la radio. Notez la passion qui l'anime, sa main s'élançant telle celle d'un tribun cherchant à convaincre!
Heureusement, la presse armée non d'un micro, mais d'un appareil photo, était là pour veiller et attraper au vol cette image intense, qui vaudrait des fortunes dans la presse people.
Mais ce n'est pas tout. Car sur un festival, il faut exercer des tâches diverses et variées. L'an passé, il paraît que d'aucune a dû repasser les chemises... et les boxers d'un artiste fameux, cette année, un autre artiste néanmoins fameux, mais moins connu de ce côté-ci de l'Atlantique a donné du fer à repasser, comme d'autres du fil à retordre. Non, rien à coudre, rassurez-vous...
Au passage, regardez ce dos courbé sur la tâche. L'élan du bras pour ne pas commettre le moindre faux plis qui aurait pu être assimilé à un faux pas: le manque de professionnalisme. Ah, il en a de la chance Momo le Dirlo, d'avoir une telle équipe de choc, multi tâches, se répétant sans cesse "c'est quand le bonheur?". Et affirmant, immédiatement, "ben, à Capbreton!". D'ailleurs, le public ne s'y est pas trompé qui est venu nombreux saluer les artistes divers et variés présents.
En tout cas, rassurez-vous, la lingère a survécu à cette oeuvre. Elle a même reçu des remerciements chaleureux de l'Artiste Majuscule pour sa collaboration remarquée à un spectacle réussi. Et oui, n'oublions pas, le Diable se niche parfois dans les détails. Y compris dans les plus petits plis des chemises.
Fin connaisseur du marketing (une formation en marketing politique, peut-être?), Momo le Dirlo avait confié à de splendides créatures les tâches marchandes. Histoire d'attirer le chaland? Sans aucun doute, la preuve par l'image...
L'histoire ne dit pas, cependant, si l'acquéreur, les yeux plongés dans... les titres du Cd, a succombé aux charmes évidents et aux talents oratoires de la Miss Festival!
Si elle est reconduite l'an prochain, gageons que cela signifie que les bénéfices (sur ce poste) furent bons.
Un bon Dirlo ne se promène jamais sans:
a) son portable
b) sa Belle Tendre et Chère...
Obligée, notons-le, de porter de noires lunettes pour éviter d'être poursuivi par de mauvais paparazzis. Seuls les meilleurs ont rarement réussi à fixer son image... Une exclusivité de Calamar, donc.
c) une bande de jeunes (de tous âges)
Tout ce savant cocktail donne un fabuleux festival... Par ici pour avoir plus de détail. D'ailleurs, c'était quand le bonheur? A surfer sur internet, on se dit que c'était bien là-bas, et pas que pour les bénévoles chics et chocs...
Libellés : Enquête(s) spéciale(s) - je détective pour vous, Festival Déferlantes francophones, Musique, Vie de (loup de) mer
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