Calamar agrafé, désagrafé, cicratisé, réactivé!
Bon, c'est vrai, ça fait un bout de temps que je n'ai pas écrit sur ce blog. Un sacré bout de temps. J'ai plein de bonnes raisons. D'abord, alors que certains se font épingler, pour des raisons diverses et variées, moi je me suis fait agrafer! A vrai dire, je ne me souviens plus de tout. La conclusion est visible: j'ai eu 7 agrafes dans la tête. Le reste? Des bribes, en souvenir ou racontées. Mais surtout la question qui s'est posée: les agrafes rouillent-elles??? Car un Calamar qui ne peut pas aller à l'eau, ce n'est pas possible! Non, elles n'ont pas rouillé. Malgré le ciel qui nous est tombé sur la tête en ce bel été, elles ont résisté un bout de temps, avant que le médecin ne les enlève. Et il semble que j'ai résisté aussi. Je ne suis pas plus frapadingue qu'avant.
Ensuite, boulot. Je vous assure que je n'en manque pas en ce moment. Je viens, d'ailleurs, de trouver une des raisons au chômage qui ronge notre société: la surcharge de travail et les marges. Alors, une marge, c'est un truc bien simple: comment gagner le maximum en rémunérant les interlocuteurs que l'on fait travailler le moins possible et en taxant ceux pour lesquels on travaille le plus possible. Conclusion: vous pressez le porte-feuille de celui qui vous a passé commande et pressez celui que vous faîtes travailler. C'est clair? Sinon, dites le moi, je vous donnerai un exemple concret. En tout cas, en ce moment, je calcule les marges. N'en tirez pas comme conclusion que je vais être augmenté, car mes marges sont bonnes. Non, je suis payé pour ça. Pour qu'un Monsieur que je ne connais même pas fasse de bonnes marges (pour lui, c'est quelques millions tous les mois, dans sa poche).
A la marge: le boulot est plus intéressant qu'il ne le fut.
A la marge, encore, je n'ai pas beaucoup écrit car je suis parti. Un peu. Deux fois.
Une fois, là. Une autre ici. C'était bien. Et je vous en dirai un peu plus une autre fois. En même temps, quand je pense que pendant que je souffre sur mes marges, certains pas marginaux bronzent ici ou là... oui oui, j'aimerais bien être à leur place.
Tout ça pour dire que ce n'est pas parce que je me suis beaucoup doré la pilule que je n'ai pas beaucoup écrit. Mais parce que j'avais beaucoup à faire. Promis, je m'y remets. Davy Crockett, La Belle Brune et compagnie, je reviens. Si si!!! Mais laissez des mots, ça fait plaisir. Des bises et à bientôt.
Ensuite, boulot. Je vous assure que je n'en manque pas en ce moment. Je viens, d'ailleurs, de trouver une des raisons au chômage qui ronge notre société: la surcharge de travail et les marges. Alors, une marge, c'est un truc bien simple: comment gagner le maximum en rémunérant les interlocuteurs que l'on fait travailler le moins possible et en taxant ceux pour lesquels on travaille le plus possible. Conclusion: vous pressez le porte-feuille de celui qui vous a passé commande et pressez celui que vous faîtes travailler. C'est clair? Sinon, dites le moi, je vous donnerai un exemple concret. En tout cas, en ce moment, je calcule les marges. N'en tirez pas comme conclusion que je vais être augmenté, car mes marges sont bonnes. Non, je suis payé pour ça. Pour qu'un Monsieur que je ne connais même pas fasse de bonnes marges (pour lui, c'est quelques millions tous les mois, dans sa poche).
A la marge: le boulot est plus intéressant qu'il ne le fut.
A la marge, encore, je n'ai pas beaucoup écrit car je suis parti. Un peu. Deux fois.
Une fois, là. Une autre ici. C'était bien. Et je vous en dirai un peu plus une autre fois. En même temps, quand je pense que pendant que je souffre sur mes marges, certains pas marginaux bronzent ici ou là... oui oui, j'aimerais bien être à leur place.
Tout ça pour dire que ce n'est pas parce que je me suis beaucoup doré la pilule que je n'ai pas beaucoup écrit. Mais parce que j'avais beaucoup à faire. Promis, je m'y remets. Davy Crockett, La Belle Brune et compagnie, je reviens. Si si!!! Mais laissez des mots, ça fait plaisir. Des bises et à bientôt.
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