jeudi, août 21, 2008

Les States (1)

Donc le Calamar "est parti un beau samedi comme un maudit malfaiteur", comme chanterait l'autre ;-)
Paris, restaurant, lessive, Lolo, Yas', Steph' et puis une courte nuit de sommeil - tant qu'à faire, autant continuer sur la lancée. Pourquoi? Pour ça!


C'est vrai, j'ai abandonné sur mon chemin tant de choses que j'aimais bien. Je n'ai même pas dit adieu à tous amis. Bon, je suis revenu. Sans un sou, c'est sûr! Mais bon, c'est ue autre histoire.
En attendant, après la courte nuit, il avait fallu se lever, et ça avait marché. Le Calamar prit ses cliques et ses claques, valise à la main et sac au dos et ops, direction l'aéroport. Là, il a retrouvé sa fidèle cops, plus besoin de la présenter...
Elle arrivait fraiche et dispose malgré l'heure plus que matinale elle avait dû se lever. Autant dire que les 15 heures de vol s'annonçaient champêtre, en plein ciel.
Billets en main, valise en soute, et même si ce n'était pas un grand Boeing, mais un bel Airbus, il ne restait plus qu'à attendre le décollage... pour gagner Los Angeles!


Trahison à la cause francophone, certes, mais bonheur des yeux en tout état de cause.

La suite au prochain numéro...

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mercredi, août 20, 2008

Le Calamar reprend du service (3 - et fin... juste pour ce titre!)

La fête avait battu son plein. Le stade de Capbreton, envahi par une foule en transe, se vidait peu à peu de son public après un concert très festif de Cali. C'était vendredi. Et déjà, il fallait songé au départ. Quelle destination?

C'est vrai. Après une petite semaine à rencontrer des Daniel Boucher, des Stéphanie, des Jenny, à boire du Canada et débattre en québécois, à être avec des Momo, Pieuvre, Jean-Mi et tant d'autres passionnés par la défense de la cause, c'eût été logique. Aller déferler sur le Nord Américain, "revoir Montréal" comme chanterait l'autre mais le grand Boeing bleu de mer ne prenait pas cette destination. Mais le concert s'achevait. Et ces idées passaient fugitivement.

D'abord, les préoccupations étaient autres: songer à se lever le lendemain, pour ne pas rater le train pour Paris, préparer une nouvelle valise, car, vous l'entendrez bientôt, "j'me marie avec une valise", comme le dit, c'est un scoop, Thomas Fersen. Ou encore, plus terre-à-terre, que manger en rentrant? La dernière question est la plus simple à résoudre: prendre la direction du Compoir du 11ème, un fameux lieu où les Amis sont toujours au RDV. D'autres, sans doute, pensaient à prendre le large... Oui oui... Le Capitaine des Déferlantes mena son équipe d'une main de maître, de ce que le vent des blogs a rapporté.

Le lendemain, levé aux aurores (euh, disons, de mémoire de Calamar, vers 10h30 - mais tout dépend de la dose de sommeil accumulée, comme de celle en retard), histoire d'aller saluer Momo le Dirlo (qui accordait déjà des interviews!), de sauter dans la voiture de Christian et de rejoindre Dax.
La Gare de Dax! Ah. Le café qui réveille et symbolise le retour sur la capitale comme le pot en arrivant l'entrée dans la phase estivale et festivale. Ce TGV sur le quai, qu'on a hâte de quitter en arrivant. Peur de râter en repartant, mais en même temps, qu'on aimerait bien ne jamais devoir regagner si l'instant du festival pouvait se figer.
Gare de Dax, donc, le train était à l'heure. Des étoiles filaient encore, là-bas, en bord de mer, préférant les bords des plages aux bords de lits d'un LEP. Les Cowboys fringants, eux, entonnaient les leurs ailleurs. Mes Aïeux tournaient dans l'hexagone. Et j'allais partir. Mais pas pour Québec. Pas tout de suite, en tout cas.

Le Calamar, lui, allait plonger ses tentacules dans d'autres eaux salées...

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vendredi, août 15, 2008

Le Calamar reprend du service... (2)


J'en étais donc à la recette du cocktail pour la réussite, je parlais des nuits longues (et reposantes), des repas et de l'eau avalée en quantité (suffisante).

Il faisait beau sur la Côte landaise. Et ça nous rappelait des bons souvenirs. Disons que ça effaçait aussi ceux bien pluvieux de l'année dernière. Alors, on avait le goût d'aller faire des tours avec les Québécois. Monsieur Boucher avait décidé de nous initier au Canada. Un shot de vodka, un shot de jus de tomate + clamato (comprendre tabasco). Et ça a lancé le débat: fallait-il un seul shot de chaque, ou autant de shots de chaque qu'il y a de provinces canadiennes, ou encore, autant de shots de ce que l'on veut mais autant qu'il y a de provinces. Bref, même sans pluie, la soirée fut arrosée. Un départ qui en a fait parler plus d'un! Si si...

Les Déferlantes commençaient bien. Et tout est allé dans ce sens.

Inspiré par le Canada, qui sait, Daniel Boucher a produit un concert exceptionnel. Mes Aïeux ont emballé les foules. Nous avons même pu esquisser notre danse préférée, quasiment devenue légendaire.
Remède miracle - Mes Aïeux
Bon, d'accord, Fayo a encore la première place au top, mais quand même... toute une salle qui danse sur Mes Aïeux, c'est excellent!

Très belle découverte aussi, Samian. Rencontre avec Pierre Barouh. Les Cowboys fringants ont fait danser les foules, eux-aussi. Cali a pris un bain (de foule). Et tout et tout. Manquaient quelques personnes à l'appel: Vincent, qui faisait chauffeur pour un mariage ;-), Aurélia, qui a préféré le plages tunisiennes, Yas, qui n'avait pas assez de vacances pour venir. Ce fut malgré tout un très beau festival. Vivement la 12ème.

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Le Calamar reprend du service...

J'avoue, je n'ai pas été très prolixe ces derniers temps. Jours? Ou semaines? Non, mois. Rien ne garantit, bien sûr, que le retour ici annoncé du Calamar sera durable. Question de développement. Et, en ces temps de réchauffement climatique, qui sait!
En tout cas, le Calamar est parti déferler sur les plages. De l'Ouest, du Sud-Ouest. Des Landes d'abord. Pas beaucoup de plage, non, mais beaucoup de fête, de bonheur, de musique. Un Monsieur nommé Momo le Dirlo a encore organisé un bien beau festival. On a fait la fête. On a mangé (beaucoup) et bu (pas trop) et dormi (énormément) - euh, je ne suis pas sûr de l'ordre des parenthèses ;-)

Le tout en photo... Ou, si vous préférez, un roman photo!

Voilà, donc, Momo le Dirlo, en pleine action: interview pour la radio. Notez la passion qui l'anime, sa main s'élançant telle celle d'un tribun cherchant à convaincre!

Heureusement, la presse armée non d'un micro, mais d'un appareil photo, était là pour veiller et attraper au vol cette image intense, qui vaudrait des fortunes dans la presse people.

Mais ce n'est pas tout. Car sur un festival, il faut exercer des tâches diverses et variées. L'an passé, il paraît que d'aucune a dû repasser les chemises... et les boxers d'un artiste fameux, cette année, un autre artiste néanmoins fameux, mais moins connu de ce côté-ci de l'Atlantique a donné du fer à repasser, comme d'autres du fil à retordre. Non, rien à coudre, rassurez-vous...

Au passage, regardez ce dos courbé sur la tâche. L'élan du bras pour ne pas commettre le moindre faux plis qui aurait pu être assimilé à un faux pas: le manque de professionnalisme. Ah, il en a de la chance Momo le Dirlo, d'avoir une telle équipe de choc, multi tâches, se répétant sans cesse "c'est quand le bonheur?". Et affirmant, immédiatement, "ben, à Capbreton!". D'ailleurs, le public ne s'y est pas trompé qui est venu nombreux saluer les artistes divers et variés présents.

En tout cas, rassurez-vous, la lingère a survécu à cette oeuvre. Elle a même reçu des remerciements chaleureux de l'Artiste Majuscule pour sa collaboration remarquée à un spectacle réussi. Et oui, n'oublions pas, le Diable se niche parfois dans les détails. Y compris dans les plus petits plis des chemises.

Fin connaisseur du marketing (une formation en marketing politique, peut-être?), Momo le Dirlo avait confié à de splendides créatures les tâches marchandes. Histoire d'attirer le chaland? Sans aucun doute, la preuve par l'image...

L'histoire ne dit pas, cependant, si l'acquéreur, les yeux plongés dans... les titres du Cd, a succombé aux charmes évidents et aux talents oratoires de la Miss Festival!

Si elle est reconduite l'an prochain, gageons que cela signifie que les bénéfices (sur ce poste) furent bons.

Un bon Dirlo ne se promène jamais sans:
a) son portable








b) sa Belle Tendre et Chère...
Obligée, notons-le, de porter de noires lunettes pour éviter d'être poursuivi par de mauvais paparazzis. Seuls les meilleurs ont rarement réussi à fixer son image... Une exclusivité de Calamar, donc.

c) une bande de jeunes (de tous âges)



Tout ce savant cocktail donne un fabuleux festival... Par ici pour avoir plus de détail. D'ailleurs, c'était quand le bonheur? A surfer sur internet, on se dit que c'était bien là-bas, et pas que pour les bénévoles chics et chocs...

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