mardi, octobre 31, 2006

Je suis dé-bor-dé !!!

Aujourd'hui Calamar fait la cuisine.
En hommage à mes visiteurs adoré(e)s... un petit cadeau maison.

Il ne peut pas faire grand chose de plus sur ce blog
pour aujourd'hui...

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lundi, octobre 30, 2006

Hou Hou Hou Shame On You !

Statcounter a décidé de mettre la honte au proprio de ce blog.
Un passage par jour
et rien dans le carnet de bord...
C'est du foot âge de gueule non ?

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samedi, octobre 28, 2006

PÔLE ETHIQUE

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vendredi, octobre 27, 2006

¿DONDE ESTA EL TANGO ?

Carlos Gardel


Astor Piazzola - ADIOS NONINO -


Gotan Project - MILONGA DE MI AMORE -


Entrevista a Astor Piazzola


SINON LE TANGO C'EST PAR

Ou encore par là...

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mercredi, octobre 25, 2006

La P'tite chanson...

Si la pêche au calamar est un art qu'il faut maîtriser, la vie des mers recèle bien d'autres surprises. "Surprise" est un mot faible, d'ailleurs. Savez-vous, par exemple, que les adeptes de la pêche aux moules peuvent être frappés de "moulite"? Héhé... Et c'est calamar qui le dit. Alors, pour tous ceux qui viennent sur ce blog pour en savoir plus sur le calamar, retenez juste que le principe fondamental est celui des tentacules. Visiblement, sur la toile du net, j'ai réussi à vous y prendre!

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LE CALAMAR.

Nom officiel:
calamar, calmar, encornet.
Nom scientifique:
loligo vulgaris.

Le calmar ou calamar, est un céphalopode décapode marin apparenté à la seiche. Il est comestible et aussi appelé selon les régions encornet, chipiron (Pays basque) ou supion dans le Midi. Souvent ces appellations gastronomiques locales ne distinguent pas les seiches des calmars.
Taille moyenne du corps entre 20 et 40 cm , maximale 60 cm pour plus de deux Kg, ce qui donne avec la tête et les tentacules un animal pouvant depasser le mètre.
Le calamar se pêche de nuit toute l'année, mais la meilleure période reste de l'automne au printemps!!!
Reproduction: de décembre à janvier. Les calamars se reproduisent jusqu'à l'épuisement total. Certains succomberont après s'être reproduits.
On le pêche avec une turlutte appelée aussi calamarette, par des fonds variants de 50 a 100m avec un eclairage immergé de préférence. La sardine est, à ma connaissance, le meilleur appât.

Parmi les 350 espèces de calmar existantes, certaines vivent à proximité des côtes, presque en surface. D'autres, au contraire, séjournent à de grandes profondeurs. Ils ont un corps cylindrique et profilé avec deux nageoires triangulaires situées à l'arrière du corps. Ils sont dotés de 8 bras et de 2 tentacules pourvues de grandes ventouses. Leur couleur est variable et changeante suivant leur humeur. Leur corps contient un os cartilagineux : la plume. Il est souvent blanc mais moucheté de rouge, de brun, de rose ou de pourpre. Il mesure de 8 à 50 cm de long, pas plus de 30 cm en Méditerranée. La taille des calmars peut atteindre plusieurs mètres dans les grands fonds, on parle alors de calmar géant. Ils ont toujours dix tentacules.

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« Je ne peux pas me mettre en dehors du monde » (Tu piges ?)


Chef de gare à la ville, chanteur à la scène, Gianmaria Testa évoque le monde avec sensibilité.

D’abord c’est une voix douce qui ne cherche pas à dissimuler. Elle est à l’image de Gianmaria Testa. Douce mais convaincue. Elle dit une vérité : « Je crois que chacun d’entre nous a une manière de communiquer autrement que par la parole. » Lui, il a la musique, la chanson plus exactement. Par elle, il disait jusqu’alors ce qu’il pensait, du quotidien surtout. Puis, il aborde les sujets politiques et la voix devient un peu plus rauque. Le sixième album de l’artiste italien, Da Questa Parte Del Mare, s’inscrit dans cette logique. Il parle d’actualité et exprime une vérité : les migrations modernes ne sont pas si joyeuses que certains voudraient le faire croire, en France comme en Italie.

C’est là-bas qu’est né Gianmaria Testa en 1958, d’une famille de paysans. Là-bas, il a découvert la chanson. Elle faisait partie de la tradition familiale. Ses parents chantaient, en travaillant. Il s’est donc « approché de manière totalement naturelle de la chanson » et ne l’a jamais laissé tomber. Lorsqu’il a treize ans, son père propose de lui acheter un instrument de musique. Lui aurait voulu un piano. Ce sera une guitare, « l’instrument le moins cher ». « Deux ou trois mois après, j’ai écrit une chanson, mais je ne savais pas vraiment jouer de la guitare », avoue- t-il. En fait, il venait de trouver sa manière de s’exprimer.

Pour vivre, il passe des concours et devient chef de gare en 1982. En 1993 sort son premier album, en France. Même si, avec les années, le nombre de concerts a augmenté, il ne se résout pas à abandonner son métier initial. Il ne se voit pas « dans un monde d’artistes ». Être au coeur du quotidien, des préoccupations de tout un chacun, tel est le principe de Gianmaria Testa. « J’ai absolument besoin d’être quelqu’un d’ordinaire. Sinon, j’aurais l’impression que je ne peux plus écrire. Je ne peux pas me mettre hors du monde et écrire des chansons pour juger le monde. Il faut que je le vive aussi, comme les autres. » C’est d’ailleurs une expérience qu’il a vécue qui est à la base de ce nouvel album. En 1992, il était à la plage. « Des pêcheurs déposent quelque chose dans un bateau amarré. » Ce « quelque chose » ? Deux clandestins, repêchés en mer après avoir été jetés par les marins du cargo sur lequel ils avaient embarqué. L’un mourra, l’autre pourra raconter son histoire. « L’écart entre moi, là en vacances, et eux, le désespoir personnifié, avait quelque chose d’outrageux. Et moi, j’étais du côté des riches. À partir de là, ça m’a poursuivi... » Alors, il a voulu exprimer son refus, son indignation. Il y parvient, en poésie et en 11 chansons. Il rappelle que les migrations sont une constante de l’histoire. Qu’elles ne se font pas sans souffrance ni sans raison. Testa en a conscience : « Si j’étais Rwandais, si j’avais du mal à donner à manger à mes enfants, je ferais exactement comme eux. J’essaierais au moins d’aller mourir autre part. » Et puis, ajoute-t-il, les Italiens ne peuvent oublier qu’eux aussi ont « longtemps été des émigrants », et rejeter aujourd’hui ceux qui arrivent.

Cet album est-il politique pour autant ? Gianmaria Testa réfute le terme : « Je suis incapable d’écrire une chanson engagée parce que l’engagement, c’est quelque chose de tous les jours. Une chanson devient engagée quand quelqu’un l’utilise. » Il a juste voulu ne pas être indifférent. En cela, il s’engage, poétiquement en tout cas.

Gianmaria Testa, Da Questa Parte Del Mare.
Le Chant du Monde - Harmonia Mundi.

Fab - 20/10/2006 -



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Héhé les amis... ça y est, j'ai un blog grâce à mon amie Y. qui, elle, blogue depuis longtemps. Au gré des vents et des humeurs, venez donc, amis blogueurs, déposer des mots hauts en couleurs!

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Essai 1

C'est pas lui qui l'a ouvert tout seul... bien sûr!

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