lundi, novembre 27, 2006

Tout le temps perdu ne se rattrape plus...

L'entrée dans l'hiver est censée arriver; normalement, déjà passée. On peut se réjouir de ce que certains appellent…


Certaines s'étaient pourtant bien préparées à affronter cet hiver rude. Un exemple:

Mais pensez au changement climatique. Pensez que bientôt, dès qu’une saison apparaît dans une chanson, nos enfants, nos petits enfants, ne pourront pas la comprendre. Imaginez lorsqu’ils écouteront la suivante, alors qu’il n’y aura plus de saison :



Voilà, c’était juste mon humeur de 27 novembre.

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dimanche, novembre 26, 2006

Swingue...

Amis de la presse et des médias, Amis blogueurs, Amis surfeurs, Amis d'ici et d'ailleurs, c'est le week-end. Sur des airs variés, vous avez peut-être envie de vous divertir les oreilles. Ou alors, de les exercer.
Si vous voulez swinguer, écouter ça:



Oui, nos amis francophones d'Outre-Atlantique disent "swingue la bagaisse au fond de la boîte à bois" comme notre amie Framboise l'a fort justement signalé en d'autres lieux (très bien aussi d'ailleurs). Car j'avais mal compris (ou alors, j'imagine d'autres choses...): voilà ce que j'avais compris (par ici). Erreur réparée. Ah, c'est la magie de la communication interculturelle! Et pour vous aider à comprendre, vous pouvez aller voir .
Mais tout ça, tous ces mots bizarres - pour nous, mais les notres ne le sont-ils pas pour d'autres? -, toutes ces chansons reprises en choeur et dansées même, toutes ces nuits fêtées, tout contribue là-aussi à se connaître, à tisser des liens avec nos voisins si lointains, si proches.
Alors, vous comprendrez que tous les ans, à la fin du festival, on ait tous envie de chanter à Momo et Framboise:


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mercredi, novembre 22, 2006

Pour préparer un festival, n'oubliez aucun ingrédient!

Dernièrement, j'avouais que je passe un partie de mes vacances à Cap Breton. Le chef, euh non, je reprends, le directeur artistique du festival est revenu du Canada où il était "allé faire son marché". Il revient avec plein de bonnes nouvelles comme il l'a expliqué lors d'un déjeuner "de travail".
Alors, pour vous donner en avant-première des idées de ce que vous pourriez entendre si vous aviez la bonne idée de vous déplacer dans le Sud-Ouest cet été, si l'envie vous prenait de déferler vous aussi sur les plages de cette station balnéaire, je suis aussi allé faire mon marché... sur le Web. Et la musique francophone d'Amérique du Nord, ça donne:
de l'émotion

Damien Robitaille (plus d'infos...)

de l'humour

Ariane Moffatt (cliquez ici)

de l'évasion



Dobacaracol (plus d'infos sur leur site ou ici)

de l'amour

Diane Tell (pour Connaître Rechercher Comprendre Communiquer)

et même l'utopie de l'amour

Félix Leclerc, Gilles Vigneault, Robert Charlebois

bref, de doux frissons

Là, Montréal vient à vous. Et c'est mieux qu'à la télé, c'est du vrai!

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lundi, novembre 20, 2006

Sortie d'un album...

Pour la sortie de son nouvel album, en avant première (ou presque!) la vidéo d'une des chansons sortie de l'album!

Allez, sortez vos souliers, dès la fin de la semaine, vous pourrez aller danser (notamment là-bas... où vous pourrez écouter et vous déhancher sur les rythmes des Samarabaloufs. Si vous ne savez pas qui sont ces amateurs de bals fous, cliquez ici)!
Pour ceux qui ne veulent pas chausser leurs souliers comme y invite Joseph Edgar, mais qui préfèrent découvrir la nouvelle scène en surfant sur le net, en bougeant leurs doigts plutôt qu'en agitant leur hanche, allez donc écouter quelques artistes comme Damien Robitaille, Yann Perreau, ou encore Marie-Jo Thério. Bien sûr, vous avez aussi Dobacaracol (mais je les ai déjà citées). Ou bien Mes Aïeux, dans un autre style (surtout si vous êtes malade, il propose un remède qui défie toute concurrence). Bref, ça bouge de l'autre côté de l'Atlantique. D'ailleurs, pour en savoir plus, allez voir par ici (ici) et par là ().
Et puis, vous pouvez aussi vous plonger dans une douce nostalgie avec quelques anciens tubes...




Enfin, il faut noter un point essentiel. Ici comme là-bas, quand ta Blonde est partie, ou quand tu as le mal du pays (héhé, nostalgie), rien ne va plus! Et ça fait de belles chansons. Des thèmes universels?

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dimanche, novembre 19, 2006

Que déferlent les Déferlantes!

Autant que je vous le dise. Depuis trois ans, je vais me dorer la pilule sur une plage des Landes. Parce que là-bas, ce sont les Déferlantes francophones! Bon, je dis dorer la pilule, mais en même temps, on y bosse dur! Pffffff! Très dur!

Certes, on y découvre des artistes nord-américains qui chantent en français (si si!). Et des tas de gens sympas.

Quelques exemples.

Le chef, un homme qui travaille sans-cesse comme il l'a appris à l'Ecole:


Euh pardon, je voulais dire, le directeur artistique (pfffff! j'vais m'faire virer!!).


Des journalistes dont les écrits sur la chanson sont parfois des révélations...


(pour les révélations allez voir ici ou ...)

... et d'autres se prennent pour Michel Drucker, une splendide créature à leurs côtés:

Certains participants ont une vision un peu particulière de la société. Soit les gens sont malades, et ils leur donnent des remèdes spéciaux (si si, écoutez bien...), ou alors, ils ont des histoires de famille bizarres... mais ils font quand même de la chouette musique! Euh, en fait, je suggère qu'on propose à Ségolène de bien écouter ce qu'ils chantent...


Dégénérations Mes Aieux


Des illustres inconnus ou des gens connus:

Et tout ce petit monde fait la fête ensemble... Euh, pourquoi je vous raconte ça déjà??? Je ne sais plus bien. Ah Mes Aïeux, j'perds la tête!!!! Ah si, j'ai retrouvé... Je vous parle de tout ça, parce que l'on vient d'apprendre que peut-être, cette année... pour les 10 ANS... on va avoir le droit... à 15 jours de Déferlantes! Wow!!!

Ce qui veut dire 15 jours avec des gens que l'on a appris à connaître là-bas. Alors là, spéciale dédicace pour Marie-Renée. Tââberbââcle! Figurez-vous qu'on a découvert queq'chose! C'te Marie-Renée, elle s'appelle aussi... Cocotte! Alors, pour Cocotte, rien que pour elle:


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samedi, novembre 18, 2006

Quand le PS laisse parler les petits papiers...

Et oui, rappelez vous:



Ils ont donc laissé parler les petits papiers. Les urnes étaient bien remplies, le taux de participation a défié toute concurrence. Elle fut même historique, si si, c'est le PS qui le dit. Au final, ce sera Ségolène Royal. Parfois, on entend des choses de ce type sur elle (remplacez musique par politique):


On ne sait pas si elle est allée à Cuba. Mais ce qui est sûr, c'est que la visite au Chili l'a boostée. Un peu plus de sérieux, allez voir par là...
Alors, Ségolène serait-elle la "Michèle Bachelet" française? L'avenir nous le dira!
En attendant, ça m'inquiète un peu. Un peu étant un euphémisme d'ailleurs. Parce qu'un-e candidat-e, quelque soit son nom, qui est capable de prétendre faire une révolution quand il / elle ne fait que de la démagogie, ne mérite pas un tel succès. Rappelez-vous aussi:



Et puis, Ségolène Royal sait-elle bien ce qu'est le salaire d'un enseignant? Ne vient-elle pas de faire la plus belle pub imaginable à la boîte à bac qu'elle cite en faisant croire que ce sont des enseignants qui y professent, alors que ce ne sont, bien souvent, que des étudiants? A-t-elle quelque fois passé un peu de temps avec des enseignants, pour imaginer ce que sont leur charge de travail et leur fatigue nerveuse?

Le plus inquiétant, c'est que son élection laisse croire qu'il suffit aujourd'hui de caresser l'électeur dans le sens du poil pour accéder à ce que l'on brigue.

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Le bal fou de Samarabalouf !


Écouter Samarabalouf, c’est s’évader au pays de la bonne humeur. D’ailleurs, l’objectif qu’ils se fixent, et qu’ils atteignent, est clair : « amener les gens en voyage, oublier et faire oublier les emmerdes de la journée ! », comme le dit François Petit, sourire aux lèvres et regard pétillant.
François Petit est en quelque sorte le pilier « historique » du trio. Guitariste et compositeur du groupe, il en est le membre fondateur. Sur sa terre d’origine, la Picardie, il jouait de la guitare, accompagnée par sa femme à la contrebasse et le mari de la nounou à la guitare lui aussi. Ainsi est née l’idée du trio. Au début, c’est une histoire de potes. Ça l’est resté, mais les potes ont changé. François Petit est en effet le seul des trois à vouloir se consacrer à son art musical. Lui qui est venu à la musique en découvrant Neil Young en colonie de vacances est devenu un « amoureux de la guitare ». Alors, lorsqu’il rencontre le guitariste Pierrot Margerin et le contrebassiste Luc Ambry, un trio renaît et la complicité s’installe rapidement entre ces trois Picards.
Pierrot jouait initialement de la batterie dans un groupe de hard rock. Luc était « un vrai punk » au début. De ces influences diversifiées résulte un répertoire étonnant, savante modernisation de la tradition des bals populaires qu’ils réussissent même à exporter en Amérique du Nord. Peu de chansons sont présentes dans le répertoire de Samarabalouf, mais des mélodies souvent entraînantes, parfois plus calmes. Et à chaque fois, une forte dose d’émotion. Ainsi, ce groupe qui fait penser à Django Reinhardt sait aller du festif à la réflexion en musique, du rêve au fantasme, de l’évasion à l’actualité. Il sait mélanger les genres et puiser dans les airs populaires des quatre coins du monde (rumba, java, flamenco, boogie, rock, tango).
Mais rejoindre en musique le pays de la bonne humeur ne signifie pas arrêter de réfléchir. Tant par les thèmes abordés que par les airs composés, le troisième album des Samarabalouf en témoigne. Pour chaque morceau, c’est « la musique en elle-même qui doit faire passer le message », explique François, « seuls le titre, le thème, la mélodie nous disent ce qui est mis à l’intérieur ». C’est probablement là la force de ce groupe : réussir à raconter des « petites histoires », à emporter l’auditeur par la seule force des airs.
Et le public ne s’y trompe pas, qui se laisse entraîner par le bal fou de Samarabalouf. Premier pas de valse sur la Valche folle, morceau qui raconte l’histoire d’une vache qui voulait apprendre à valser. Accents orientaux et moment séduction avec Erotic night. Guitare boogie boolga, en l’honneur de Casimir et de son fameux gloubi-boulga, fait swinguer les salles. Le temps des rythmes et des chants continue avec Profitez-en ! invitation humoristique à faire la fête. Leur bonne humeur est contagieuse, l’évasion garantie. Alors, profitez-en !
CD : Samarabalouf, Profitez-en ! avec la participation d’Arnaud Van Lancker à l’accordéon (L’Autre Distribution).
24 et 25 novembre à l’Entrepôt (Paris 14e), 27 novembre à Lille. Toutes les dates sur :
http://www.samarabalouf.com.
Fabien Perrier
(Article paru dans l'édition du 17 novembre 2006)

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vendredi, novembre 17, 2006

Dupain... Non ce n'est pas seulement une revendication révolutionnaire!!!

Et oui... Il fallait bien que ça arrive. Que ce blog commence à voir quelques visites, timides, d'inconnus qui, au gré de leur surf virtuel, allaient déposer des messages qui n’étaient pas seulement des blagues. On aurait pu le croire pourtant: allez donc voir par ici et voir par là! Pas des blagues de blog, donc, mais des vérités pas virtuelles. Ainsi, moi, quand Bousin me parle de Dupain, j’attends que Duvin arrive, j’anticipe, convaincu qu’il s’agissait d’une pub déguisée…



Et bien non!!! Ou alors, une revendication révolutionnaire? Non, nous ne sommes plus en 1789. Quoi que parfois, en me promenant dans les rues, je me dis que ce genre de revendications est encore plus que d'actualité... Mais là, je m'égare.
En tout cas, pour en revenir à la pub, ce n’était pas de celle-là qu’il s’agissait. Mais de celle-ci :



Oui! Dupain! Dupain!!! Tout va bien.
Ce qui est bon dans l'histoire, c'est qu'on en apprend tous les jours!

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jeudi, novembre 16, 2006

En attendant samedi soir...

Alors... Bientôt le week-end... Et je dois vous avouer que j'aime bien danser... Si si! Je ne suis pas encore allé à Saint-Dilon, mais je voudrais donner un petit aperçu de cette danse. Entraînez-vous bien...

Et pour conclure: Swing' la baguette au fond d'la boîte à bois!... Comprenne qui pourra!!!

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dimanche, novembre 12, 2006

Le dimanche: "Je Brunch*" !



Bonjour à tous,

Vous le savez peut-être: CharlElie Couture a sorti un nouvel album "New YorCoeur". Le titre ne pouvait pas mieux tomber. Mais pourquoi donc, me direz-vous?

Le 20ème Art renoue avec sa tradition dominicale des brunchs. Le titre ne pouvait pas mieux tomber car cette fois, la formule est audacieuse, mais pleine de générosité, d'ouverture, d'esprit de découverte, bref de Coeur comme toujours dans ce lieu où il fait bon vivre, boire et manger: en cuisinière, ce sera Lazy qui invite pour un brunch New Yorkais. Il fallait l'inventer, le 20ème Art l'a fait. Leur credo? L'évasion est dans l'assiette. Ils le prouvent une fois de plus avec l'élégance et la qualité que les hôtes n'ont de cesse de rappeler.

Oui à l'ouverture gastronomique. Oui à l'ouverture culturelle. Nous serons tous un peu New YorCoeur.

Alors en ce dimanche, venez tous au 20ème Art bénéficier d'un été indien (héhé... n'est-ce pas en novembre qu'on le célèbre outre-atlantique...?).

A partir de 13 heures, l'équipe vous accueillera avec son sourire habituel. Avec sa gentillesse et plus que jamais son côté grand New YorCoeur!

RDV au 46 rue des Vignoles, Paris 20ème.

Bien entendu, la réservation est conseillée,
tant la formule qui nous manquait a du succès!


Ou passez à l'improviste! Toujours, vous serez bien reçus. Si vous ne venez pas aujourd'hui, n'hésitez pas à y faire un tour en semaine ou le week-end pour régaler vos papilles.

*C'est plus court que de dire "Je me lève à pas d'heure car je ne vais pas à l'office dominical donc je petit-déjeune/déjeune en même temps et comme ça j'ai pas faim à quatre heures"

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vendredi, novembre 10, 2006

Mossu T, du tonus à revendre

Le 10 novembre à Toulon, le 14 novembre au Divan du monde à Paris.
En français comme en occitan, Moussu T et ses « jovents » vous amènent au soleil, chantent Marseille et réinventent le folklore « pour faire danser, pour rassembler les gens » affirment-ils. Sur Forever polida (toujours jolie), titre de leur dernier album, treize chansons décrivent la ville et ses ambiances. D’une madone rencontrée dans le TER aux plaisirs de la pêche, ce sont de purs moments de vie, et une incroyable bonne humeur marseillaise qui sont transmis en musique. Cet album contient une dose de tonus incroyable. À consommer sans modération. C’est un régal, que ces « joyeux marseillais » !
(Article paru dans l'édition du 10 novembre 2006)

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jeudi, novembre 09, 2006

Tango, toujours tango!


Le chanteur argentin sort un album contenant quinze classiques de pur tango enregistrés live, et à son insu, à Buenos Aires.
Horacio Molina et le tango, c’est une histoire d’amour. De toujours. Soixante-dix ans pour le bonhomme et presque autant de tango ! Une affaire qui dure. Est-il possible de raconter ses amours ? Molina semble prouver que oui dans son nouvel opus : Tango Esencial (1). Quinze chansons enregistrées en direct dans une salle de Buenos Aires, mais sans que le chanteur argentin ne le sache : « Un producteur m’a enregistré en cachette, ce qui m’a en fait beaucoup facilité les choses car je n’étais pas obligé de penser à lqui peut bloquer la spontanéité. J’étais vraiment libre de laisser passer mes émotions. Mais quand il me l’a dit, j’étais un peu fâché », avoue-t-il en souriant.
Et aujourd’hui, il est content, vraiment surpris de cette production inattendue, de ces quinze morceaux retenus parce qu’ils sont ceux que le chanteur pense essentiels. Ceux qui, pour lui, racontent l’histoire de cette musique. Des « classiques » que Molina a entendus depuis son plus jeune âge.
Né en 1936 dans les « quartiers moyens, voire pauvres », de Buenos Aires, il a toujours su qu’il voulait chanter le tango. Il enregistre un premier album en 1961, part en tournée en Amérique du Sud, enregistre de nouveaux titres, puis parcourt le monde. Très vite, il est internationalement reconnu et chante avec les plus grands : Astor Piazzola, Oscar Cardozo Ocampo... Lorsque la junte militaire prend le pouvoir, il part de son pays, un « pays un peu naïf », dit-il, mais qu’il n’a « jamais eu le sentiment de quitter définitivement ». Viennent alors quelques années parisiennes et, en 1985, un retour en Argentine. Même s’il déplore la « situation de désintégration d’un pays pendant soixante ans, la misère là-bas qui est partout », il est de nouveau au pays de Carlos Gardel, son maître. Celui qu’il écoutait à la radio tout petit. et qui, « toute sa vie, a chanté sans bandonéon, juste avec une guitare », comme Molina le fait sur Tango Esencial. Un tango pur, qu’il oppose au « tango pittoresque » qui l’agace, image retravaillée d’un passé qui n’a jamais vraiment existé.
Molina cherche à « être vrai », convaincu que le tango « est la synthèse totale de l’histoire d’un pays : il représente l’état d’esprit de l’Argentine qui a connu des influences de beaucoup d’immigrés, espagnols, africains, bulgares, etc. Tous sont venus avec leur musique ». C’est dire si le CD qui vient de paraître, enregistré en live, est révélateur à la fois de cette richesse et de son irrésistible amour du tango.
(1) Tango Esencial, de Horacio Molina (Manana Classics)
Page Web
(Article paru dans l'édition du 7 novembre 2006)

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mardi, novembre 07, 2006

Pour mes Bambinis...

Samedi soir. Sortie d'un très beau concert (Norig). D'autres voix sur mon répondeur de portable... Je reconnais d'emblée, heureux de cette surprise. Merci les Amis! Allez, chantez avec moi...



Vous en voulez encore...?



Et une petite surprise... Son titre? Quand les stars chantent ensemble...



Zaïe zaïe zaïe!

Pour vous entraîner:

Bambino, Bambino ne pleure pas, Bambino

Les yeux battus la mine triste
et les joues blêmes
Tu ne dors plus
Tu n'es plus que l'ombre de toi-même
Seul dans la rue tu rôdes
Comme une âme en peine
Et tous les soirs sous sa fenêtre
on peut te voir

Je sais bien que tu l'adores
Et qu'elle a de jolies yeux
Mais tu es trop jeune encore
Pour jouer les amoureux
Et gratte, gratte sur ta mandoline
mon petit Bambino
Ta musique est plus jolie
que tout le ciel de l'Italie
Et canta, canta de ta voix câline
mon petit Bambino
Tu peux chanter tant que tu veux
Elle ne te prend pas au sérieux

Avec tes cheveux si blonds
Tu as l'air d'un chérubin
Va plutôt jouer au ballon
Comme font tous les gamins

Tu peux fumer comme un Monsieur des cigarettes
Te déhancher sur le trottoir quand tu la guettes
Tu peux pencher sur ton oreille, ta casquette
Ce n'est pas ça, qui dans son cœur, te vieillira
L'amour et la jalousie ne sont pas des jeux d'enfant
Et tu as toute la vie pour souffrir comme les grands

Et gratte, gratte sur ta mandoline
Mon petit Bambino
Ta musique est plus jolie
que tout le ciel de l'Italie
Et canta, canta de ta voix câline
mon petit Bambino
Tu peux chanter tant que tu veux
Elle ne te prend pas au sérieux

Si tu as trop de tourments ne les garde pas pour toi
Va le dire à ta maman les mamans c'est fait pour ça
Et là, blotti dans l'ombre douce de ses bras
Pleure un bon coup et ton chagrin s'envolera

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samedi, novembre 04, 2006

Je suis dé-bor-dé !!! Comme ma poubelle...

Grâce à vos précieux conseils, Monsieur Calamar a nettement progressé ! Il est d'autant plus heureux qu'il va pouvoir regarder la télé ce week-end !

C'est pas d'la belle télévision ça mesdames?

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vendredi, novembre 03, 2006

Les Dobacaracol caracolent avec l’énergie d’un volcan (TAGADA TSOIN TSOIN - Tu piges ? 2)


Concert . Doriane et Carole se sont rencontrées au Québec et forment un duo étonnant où se mêlent chants et percussions afro.

Dobacaracol. Qu’est-ce donc, ce son original qui résonne et reste en tête ? Un groupe originaire du Québec et des chansons à l’image de ce son. Deux pièces maîtresses, Carole et Doriane, deux chanteuses accrochées à leur jumbé. Leur rencontre tient de l’improbable : un ami commun les présente lors d’une rave en 1998, au milieu de 20 000 personnes. Comme aucune des deux n’aime la techno, elles se mettent à parler « pas seulement de musique, mais aussi de voyages, de tout et de rien », explique Carole. « Et le lendemain, Doriane est arrivée chez moi, avec sa guitare puis on a commencé à jouer de la musique pour le plaisir. » C’est « un coup de foudre amical avant qu’il ne soit musical », avoue la chanteuse.

Doriane et Carole, Doba et Caracol pour reprendre leurs surnoms, vont alors évoluer au grès des vents et des rencontres. Elles chantent en s’accompagnant aux percussions dans des bars de Montréal. Des musiciens se joignent à elle. Un bassiste en premier lieu, Maxime. Après quelques chansons avec lui, ils ont « fini par jouer systématiquement ensemble ». Ça dure maintenant depuis six ans. Momo les rejoint à la batterie. Voix, percussions, basse. Le duo est devenu un groupe dont les membres sont de partout (ivoirien pour Momo, - québécois pour Maxime, Doriane est française vivant au Québec, Carole d’origines suisse et uruguayenne).

Un premier album paraît au Québec et les fait connaître. Cordes, claviers et instruments à vent arrivent ensuite. En 2005 au Québec, en 2006 en France, sort Soley, intime et profond, mâtiné de sonorités du monde entier. C’est l’album du partage des voyages. De ses périples, le groupe a - ramené des traditions et des légendes (Amazone par exemple) qu’il met en musique en français, anglais ou ivoirien.

S’en dégage une véritable ouverture sur le monde et des rythmes ensoleillés, cosmopolites, qui mettent de bonne humeur. Ce melting-pot musical souhaite casser les barrières sans « perdre une identité québécoise qui lui est propre », explique Carole. Alors, écouter les Dobacaracol, c’est s’évader « en citoyen du monde », comme eux-mêmes se considèrent. C’est bouger. « J’ai le feu du volcan », dit une de leurs chansons. Sur scène, le groupe caracole, le volcan s’embrase et communique son énergie à toute la salle.

Dobacaracol, Soley (Wagram) 2006.

Concert à l’Élysée-montmartre (Paris) le 7 novembre,
Dates de la tournée en France sur : http://www.dobacaracol.com

Fab - 03/11/2006 -
Page web ..

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jeudi, novembre 02, 2006

Je suis dé-bor-dé !!! -3-

Calamar bosse toujours comme un fou. Il écume les places branchées parisiennes pour décrocher des entretiens de première main avec de futures grandes célébrités. Cependant, la technique n'est pas toujours très clémente avec Monsieur Calamar...
Question du jour de Calamar mite:
Comment fait-on pour remettre une photo dans le bon sens ?
(c'est pour le travail)

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mercredi, novembre 01, 2006

Je suis dé-bor-dé !!! -2-

Aujourd'hui,
Calamar doit résoudre quelques problèmes techniques. Problème N°1:
Apprendre à se servir de son nouvel appareil photo.

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